Le 30 juillet est la journée internationale de la traite des personnes.
La traite des êtres humains (ou traite des personnes) désigne généralement le processus par lequel des personnes sont placées ou maintenues en situation d’exploitation à des fins économiques
selon le Haut commissariat des nations unies aux droits de l’homme
Baudouin Kipaka, expert congolais des questions de droit de l’homme, note parmi les causes:
” l’ignorance presque généralisée de la définition et les diverses formes de la traite des êtres humains ainsi que le cadre légal de lutte contre ce crime”
Pour lui, les différentes formes de la traite que sont: le travail forcé, le mariage forcé, la prostitution forcée, l’esclavage et ses formes analogues, la mendicité forcée et organisée, le prélèvement ou le trafic des organes humains etc; sont criminalisées en droit pénal congolais.
Une avancée récente pour le pays qui s’est doté d’une loi et d’une agence de lutte contre cette forme d’esclavage moderne qui contraint les victimes au silence.
Un défi majeur demeure cependant, le travail en synergie des différents acteurs. La présidence, le gouvernement, le pourvoir judiciaire, la société civile et les partenaires internationaux doivent toujours travailler en synergie en vue de mutualiser les actions pour éradiquer ce phénomène dans l’avenir, soutiennent les experts, en raison de la menace des puissants réseaux des trafiquants qui investissent beaucoup d’argents pour saper la lutte.
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